Lemasdelolivine

Danger zone

Judith se présente au service du personnel d’une centrale nucléaire pour y être engagée. L’action se déroule quelques mois après les incidents de Three miles Island, au moment du grand boom nucléaire, pour ne pas dire crash, bref à un moment où n’importe quel employé desdites centrales se prend pour un pionnier. La centrale nucléaire de l’Oregon n’est pas un modèle de sécurité. Judith va s’apercevoir que les normes ne sont pas respectées, que le syndicaliste, dont elle était tombée amoureuse, est très sérieusement irradié avant d’être supprimé, bref, le plutonium frappe fort. Judith met son nez un peu partout, c’est-à-dire surtout où il ne faut pas, découvre que les dirigeants de la centrale nucléaire sont corrompus et que l’on fait des économies sur la sécurité des employés. Elle sera inculpée de détournement de plutonium avant d’être disculpée, pour ensuite succomber à une bien étrange maladie des poumons. Bon documentaire sur les couloirs des usines nucléaires !Danger zone «Danger zone» soulève un problème qui, en son temps, a mobilisé les foules. Aujourd’hui on se soucie plus du syndrome du Sida que du syndrome du plutonium, question d’époque.

Le kid de la plage

Le kid de la plageÉté 1963: c’est l’année où la couleur passe le petit écran et s’installe dans la plupart des foyers américains, c’est l’année aussi où des colonnes de GI’s sont emmenées au Vietnam, c’est encore l’année où le rock envahit les ondes et les têtes des teen-agers en mal de vivre. C’est aussi trois mois à peine avant qu’un certain vendredi, à Dallas, John F. Kennedy ne soit assassiné et les espoirs d’une jeune génération avec. Bref, l’été 1963 est le dernier été superficiel de Jeffrey Willis, le kid de la plage, interprété par Malt Dillon. Jeffrey a 18 ans, il est fils d’un plombier de Brooklyn. Pour lui, l’été 63 sera la dernière occasion de s’amuser et de courir les filles avant de rentrer à l’université. Comédie sans prétention, qui révèle Matt Dillon dans un rôle qui n’est pourtant pas d’une grande originalité.

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